Vie lyonnaise
Savez-vous pourquoi la Tour Incity est éclairée ?
A quoi correspond la couleur de la Tour Incity, qui s’allume chaque soir ?
Chaque soir, à la tombée de la nuit, la Tour Incity change de couleur. Bleu, vert, jaune ou rouge … Ce n’est pas pour faire joli : on vous explique à quoi ça sert !

Ce mardi 14 octobre, on célèbre la Journée nationale de la qualité de l’air. L’occasion parfaite pour lever les yeux vers le ciel lyonnais : chaque soir, pendant 1h30, la Tour Incity s’illumine … pour annoncer la qualité de l’air du lendemain.
En effet, bleu, vert, jaune ou rouge… Ces couleurs ne sont pas là pour décorer. Elles reflètent l’indice ATMO, qui indique si l’air que nous respirerons sera bon ou pollué. Le bleu signifie une atmosphère saine, le magenta alerte sur un air très dégradé.

Cette initiative, mise en place depuis juin 2024, vise à sensibiliser les Lyonnais de façon simple et visuelle. En un coup d’œil, chacun peut adapter ses activités ou ses déplacements selon la qualité de l’air prévue. Ainsi, l’objectif est de rendre visibles des données souvent abstraites et encourager chacun à adapter ses comportements, comme limiter les déplacements motorisés, éviter les activités physiques intenses lors des pics de pollution, ou encore privilégier des modes de chauffage plus propres.
En un an, 61 jours avec une qualité de l’air mauvaise ont été enregistrés (couleur rouge), 93 jours en mode dégradé (jaune) et 206 jours pour une qualité moyenne (vert).
Alors, en cette journée dédiée à l’air que l’on respire, prenez le temps d’observer la tour Incity : sa couleur vous dit déjà comment sera votre air demain !
Vie lyonnaise
Noémie Baiamonte représentera la région Rhône-Alpes à Miss France ce samedi
Elle succède ainsi à Alexcia Couly, qui avait atteint le top 15 l’an dernier.
Élue Miss Rhône-Alpes le 19 septembre 2025 à Villefranche-sur-Saône, Noémie Baiamonte défendra les couleurs de la région lors de l’élection Miss France 2026, ce samedi 6 décembre au Zénith d’Amiens.

Âgée de 21 ans, Noémie est originaire de la Loire. Née à Saint-Étienne, elle a grandi à Saint-Chamond avant de s’installer à Rive-de-Gier. Aujourd’hui étudiante à Villeurbanne, elle suit une formation de maquilleuse plasticienne spécialisée dans les effets spéciaux pour le cinéma, un univers qui la passionne, notamment les films d’horreur.
Miss Rhône-Alpes 2025 s’est lancée dans les concours presque par hasard, encouragée par ses proches. Déterminée et souriante, elle enchaîne depuis les titres : Miss Châtillon Pays de Dombes, Miss Pays de l’Ain, puis Miss Rhône-Alpes. Son tatouage rouge représentant un dragon, désormais autorisé par le règlement, est devenu l’une de ses signatures.
Très attachée à sa région dont elle vante régulièrement les paysages en interview, Noémie espère profiter de cette aventure pour défendre une cause qui lui tient à cœur : encourager les jeunes à croire en eux et à oser se lancer, même lorsqu’ils doutent.
Considérée comme l’une des favorites par le public sur les réseaux sociaux, elle espère offrir à la région Rhône-Alpes une nouvelle couronne, plus de vingt ans après celle de Sylvie Tellier. Verdict ce samedi soir sur TF1.
Vie lyonnaise
Un restaurant lyonnais parmi les 10 meilleurs du monde
Le restaurant est une véritable institution dans la région.
Lyon confirme encore une fois son statut de capitale mondiale de la gastronomie. Pour son édition 2026, La Liste, prestigieux classement international fondé en 2015, place un restaurant lyonnais dans le top 10 des meilleurs restaurants du monde.

Le restaurant est situé Rue Royale, dans le 1er arrondissement. • © DR
La Mère Brazier, seule table du Rhône dans le top 10
Parmi les 35 000 restaurants analysés cette année dans 200 pays, il faut descendre à la 9e marche du classement, avec une note de 95,5/100, pour retrouver l’unique représentant du Rhône : La Mère Brazier.
Une véritable consécration pour cette institution du 1er arrondissement fondée en 1921 par Eugénie Brazier, première femme à obtenir trois étoiles Michelin, que Mathieu Viannay continue de faire rayonner avec une cuisine à la fois patrimoniale et créative.
Une édition 2026 très disputée
Pour ses dix ans, La Liste a scruté comme jamais la scène gastronomique mondiale : plus d’un millier de sources, guides, blogs, critiques et millions d’avis en ligne sont agrégés par un algorithme pour établir le palmarès.
Sans surprise, Guy Savoy à Paris se maintient en tête, ex æquo avec neuf autres tables internationales. La France reste largement représentée dans le top 100, et la région Auvergne-Rhône-Alpes brille notamment grâce aux restaurants Régis et Jacques Marcon (Haute-Loire), Troisgros – Le Bois sans feuilles (Loire) ou encore Maison Pic (Drôme).

Une année faste pour la gastronomie lyonnaise
Si La Mère Brazier s’impose dans le top 10, le département du Rhône ne s’arrête pas là. Le classement 2026 distingue également Ombellule, le restaurant de Tabata et Ludovic Mey à Lyon, récompensé du prix de la table à explorer ainsi que Daniel Boulud, chef originaire du Rhône installé à New York, qui reçoit le prix de la « rayonnance gastronomique » pour son influence internationale.
Toujours dans le top 1 000 figurent également plusieurs tables lyonnaises reconnues : Paul Bocuse, à Collonges-au-Mont-d’Or, Le Neuvième Art et Takao Takano.
Toutes ces distinctions renforcent le poids de Lyon dans la gastronomie mondiale. Avec une institution centenaire classée parmi les dix meilleures tables de la planète et une nouvelle génération de chefs mise en lumière, la capitale des Gaules confirme qu’elle demeure un passage obligé pour les amateurs de haute cuisine.
Vie lyonnaise
Alain Ducasse choisit Lyon pour sa chocolaterie
Le chef le plus étoilé du monde s’installe à Lyon !
Depuis le 5 novembre, une nouvelle odeur de cacao flotte à Lyon, entre Bellecour et les Jacobins. À la place du Comptoir de Mathilde, c’est désormais la chocolaterie Alain Ducasse qui accueille les passants en quête de douceurs.

Un clin d’œil à ses débuts lyonnais
Lyon n’a pas été choisie par hasard. Jeune cuisinier, Alain Ducasse passait une partie de ses jours de repos chez Maurice Bernachon, figure incontournable du chocolat lyonnais. Une parenthèse gourmande qui l’a marqué et qui explique sans doute ce retour en Presqu’île. Avant l’ouverture de sa première chocolaterie parisienne en 2013, ses équipes étaient d’ailleurs venues se former une nouvelle fois chez Bernachon.
Les premiers curieux déjà au rendez-vous
À peine la boutique ouverte, les premiers visiteurs ont pu goûter le carré baptisé « Ganesh Origine », élaboré à partir d’une fève thaïlandaise. Une mise en bouche qui donne le ton : la nouvelle adresse d’Alain Ducasse pourrait rapidement devenir un détour obligé pour les amateurs de chocolat en ville. Comptez 19 euros pour un coffret découverte de 4 pièces de chocolat (85g) et jusqu’à 154 euros pour les 90 pièces.
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