Festival
La Cité Internationale fête ses 30 ans et invite Jérémy Frérot, Charlie Winston, Styleto …
Pour ses 30 ans, la Cité Internationale a le droit à un événement avec Jérémy Frérot, Charlie Winston, Styleto, Julien Lieb …
Les vendredi 29 et samedi 30 août 2025, la Cité internationale de Lyon fêtera ses 30 ans avec une édition spéciale du Festi’Cité placée sous le signe de l’Italie. Deux jours de concerts, d’animations et de découvertes culinaires sont au programme, le tout en accès libre.

Un hommage aux racines italiennes de la Cité
Inaugurée en 1995, la Cité internationale porte la signature de l’architecte italien Renzo Piano. Véritable carrefour culturel qui compte aujourd’hui 900 habitants, elle a toujours entretenu des liens forts avec l’Italie. Cette édition anniversaire met donc à l’honneur la gastronomie, la musique et l’art de vivre qu’ont en commun la France et l’Italie.
Vendredi : musique en plein air avec Jérémy Frérot, Styleto, Charlie Winston et plein d’autres artistes
Dès 17h, le parvis du Musée d’Art Contemporain vibrera au rythme des DJ sets de JAA DJ, Johnny Debb, Fatslimm, Pilou et Pyxide.
À partir de 19h30, un concert est organisé par la radio locale Radio Scoop sur l’esplanade de l’Amphithéâtre 3000 avec Jérémy Frérot, Charlie Winston, Julien Lieb, Jeck & Carla et Styleto. Bonneville et Laura Ferré assureront la première partie la soirée. L’entrée est gratuite, dans la limite de 10 000 places.

Samedi : la plus grande trattoria de France et animations
De 11h30 à 15h, la rue intérieure accueillera plus de 1000 convives autour d’une immense tablée. Pastas, pizzas et spritz seront proposés par les restaurateurs locaux.
La journée sera ponctuée d’activités sportives (yoga, pilates, danse par Leaf Circle), d’ambiances musicales italo-disco, de DJ sets et d’animations variées : expositions, friperie, donnerie de livres, rencontres culturelles…
Ainsi, entre concerts, découvertes culinaires et activités pour tous, cette édition 2025 de Festi’cité promet un week-end bien sympathique et festif !
Si vous êtes amateur de dub, vous avez forcément déjà participé à une soirée organisée par Dub Echo. Bonne nouvelle : après plus de dix ans à faire résonner les basses profondes à Lyon, le collectif franchit une nouvelle étape en annonçant la création du Dub Echo Festival.

Né en 2014, Dub Echo s’est imposé comme un acteur incontournable de la scène dub locale, puis nationale. Inspiré par l’héritage jamaïcain et l’esprit des pionniers du sound system, le collectif a construit au fil des années une identité forte. En 2026, cette vision entre respect des racines et ouverture aux expressions contemporaines prend une nouvelle dimension avec un festival dédié.
Les 17 et 18 juillet, à Saint-Laurent-d’Agny (30 minutes de Lyon), le Dub Echo Festival réunira 10 sound systems et plus de 20 artistes pour deux jours de célébration. Trois scènes sous chapiteaux accueilleront jusqu’à 5 000 personnes par soir, dans un format conçu pour mettre en valeur la puissance du son et la diversité des esthétiques dub.
Le site proposera également un camping, un parking et des espaces aménagés pour le confort du public. Fidèle à l’esprit des block parties jamaïcaines, l’événement entend recréer une atmosphère conviviale et engagée, où la musique se vit autant qu’elle s’écoute.
La mise en vente des billets est prévue le mercredi 17 décembre à 14h, tandis que la programmation sera dévoilée courant janvier.
Festival
La Kermesse Festival : les stars des années 2000 à Lyon
Cascada, Colonel Reyel, Shy’m, K.Maro, … ils seront tous à Lyon en juin 2026 !
Le Matmut Stadium de Gerland s’apprête à replonger Lyon dans la frénésie des années 2000 ! Le 28 juin 2026, La Kermesse Festival débarque pour une édition 100 % nostalgie.

Le Positiv Festival, qui avait déjà annoncé une date avec DJ Snake, collabore cette fois-ci avec La Kermesse Festival pour laisser place aux icones pop, RnB et dance des années 2000 qui ont fait vibrer toute une génération.
Une première salve d’artistes culte
La première partie de la programmation lyonnaise vient d’être dévoilée et annonce un véritable marathon de tubes. Le public retrouvera ainsi Cascada, dont les tubes Everytime We Touch ou Evacuate the Dancefloor ont façonné la scène dance européenne. À ses côtés, Shy’m apportera son énergie signature, portée par des titres phares comme Femme de couleur ou Et alors, tandis que K.Maro fera ressurgir l’énorme succès de Femme Like U, véritable hymne de la décennie.
L’ambiance s’annonce tout aussi nostalgique avec Colonel Reyel, qui replongera les festivaliers dans l’époque de Celui et Aurélie, ainsi qu’avec Kenza Farah, figure essentielle du RnB français, attendue sur Je me bats ou Lettre du Front. Jessy Matador insufflera une touche plus solaire avec ses hits fédérateurs tels que Allez Ola Olé ou Décalé Gwada. Enfin, Tribal King viendra compléter ce premier volet avec Façon Sex, morceau emblématique des soirées 2000’s.
Une première salve déjà généreuse, alors que l’organisation assure que la deuxième partie de la programmation sera encore plus explosive.

Billetterie : une hausse progressive des prix
Les billets sont actuellement en phase 1, entre 45 et 65 euros selon les catégories. L’organisation prévient : les tarifs augmenteront à mesure que le Matmut Stadium se remplit. Les fans des années 2000 sont donc invités à ne pas trop tarder pour profiter des meilleurs prix !
Festival
Le Lyon Antifa Fest revient à La Rayonne
Da Uzi, L’Allemand, Poésie Zéro ou encore La Valentina seront de la partie.
À l’approche de sa 12e édition, le Lyon Antifa Fest (LAF) revient à La Rayonne, à Villeurbanne, du 11 au 13 décembre 2025.

En 2025, le Lyon Antifa Fest s’étend sur trois jours, du 11 au 13 décembre, avec deux grandes soirées de concerts les jeudi 11 (punk rock/ska) et vendredi 12 (rap engagé) à La Rayonne, à Villeurbanne. Les places sont en vente aux alentours de 28,60 €, notamment via la billetterie Shotgun. Malgré le retrait du Pass Culture, les précédentes éditions ont montré la capacité du festival à remplir les salles grâce à un public fidèle et renouvelé.
Un festival né des luttes, ancré dans la ville
Né en 2013 face à la montée de l’extrême droite lyonnaise et aux agressions fascistes, le festival s’est imposé comme un rendez-vous majeur des cultures antifascistes. En mémoire de Clément Méric et Pavlos Fyssas, assassinés par l’extrême droite en 2013, le Lyon Antifa Fest revendique une ligne claire : faire de la musique un espace de lutte contre les discriminations, mais aussi un moment de fête, de rencontres et de solidarité.
D’abord centré sur la scène punk rock militante, le Lyon Antifa Fest a progressivement élargi son spectre musical pour toucher un public plus vaste, sans diluer son message. Au fil des années, il a accueilli des artistes comme Médine ou la Scred Connexion, tout en gardant un fonctionnement essentiellement bénévole. Porté par des collectifs engagés, le festival se veut accessible, populaire et profondément ancré dans les réalités sociales des quartiers, des luttes antifascistes et des mobilisations contre le racisme, le sexisme ou les violences policières.
Jeudi 11 décembre : une soirée punk rock & ska
La première grande soirée, le jeudi 11 décembre, donne le ton : ce sera rapide, énergique et ouvertement engagé. Sur scène, trois formations aux identités bien marquées :
• Moscow Death Brigade : collectif venu d’Europe de l’Est, connu pour son mélange explosif de rap, punk et hardcore, et pour ses prises de position antifascistes assumées.
• Poésie Zéro : un punk cru, parlé, parfois grinçant, qui joue avec l’absurde et la colère sociale.
• Goulamas’k : vétérans d’un ska-rock festif, métissé et souvent chanté en occitan, ils amènent cuivres, choeurs et refrains taillés pour les pogos bon enfant.
Cette affiche punk/ska condense l’ADN historique du Lyon Antifa Fest.
Vendredi 12 décembre : le rap engagé prend le relais
Le vendredi 12, place au hip-hop, autre pilier désormais incontournable du Lyon Antifa Fest. La programmation fait le pari d’un rap à la fois actuel, populaire et fortement ancré dans les réalités sociales :
• COSTA (Paris) : plume affûtée, sons sombres ou percutants, il explore les thèmes des inégalités, du rapport aux institutions et des trajectoires de classe, loin des clichés caricaturaux.
• La Valentina (Paris/Colombie) : artiste colombienne vivant à Paris, elle a grandi sous les influences latines ; héritage que l’on retrouve totalement dans sa musique chantée à la fois en français et en espagnol. On l’a notamment aperçue dans Nouvelle École sur Netflix.
• L’Allemand (Lyon) : figure locale, il arrive à domicile avec un public déjà conquis. Ses textes parlent des quartiers, des galères et de la fierté de celles et ceux qui n’entrent pas dans les cases, avec cette énergie typique du rap lyonnais.
• Da Uzi (93) : artiste issu des quartiers populaires de Seine-Saint-Denis, il bouscule les lignes entre street-rap brut et morceaux plus introspectifs. Sa présence au Lyon Antifa Fest illustre la volonté du festival de convier des artistes très exposés médiatiquement, sans renoncer à une ligne politique claire.
Un espace de rencontres, de mémoire et de solidarités
Au-delà des concerts, le Lyon Antifa Fest s’affirme comme un lieu de vie. Sur place, les publics croisent tables de presse, associations, collectifs antiracistes, féministes ou anticapitalistes. On y discute luttes locales, droits sociaux, histoires des mouvements antifascistes, tout en partageant un verre ou un repas. L’événement se veut ouvert : il s’adresse bien sûr aux militants et militantes aguerris, mais aussi à celles et ceux qui découvrent ces questions par le biais de la musique.
Les organisateurs insistent également sur la dimension mémorielle du festival. Chaque édition rappelle les noms de Clément Méric et Pavlos Fyssas, et plus largement celles et ceux qui ont payé de leur vie leur engagement. Loin d’un hommage figé, cette mémoire se traduit par la volonté d’inventer des formes de culture vivante, joyeuse et combative.

Polémiques récurrentes, liberté artistique assumée
Comme presque chaque année, l’édition 2025 est la cible de vives critiques venues de l’extrême droite et d’une partie de la droite. Des responsables politiques, dont le candidat UDR-RN à la mairie de Lyon, ont demandé son interdiction, qualifiant le Lyon Antifa Fest de « festival anti-France et anti-policiers ». Le syndicat Alliance Police Nationale a saisi la préfecture pour en réclamer l’annulation, tandis que la présence du festival dans le Pass Culture a été dénoncée sur les réseaux sociaux avant que le ministère ne retire finalement cette éligibilité, invoquant un risque de troubles à l’ordre public. De leur côté, les organisateurs et La Rayonne rappellent qu’aucun incident n’a été constaté en douze ans d’existence, revendiquent un festival tourné contre les discriminations et les violences et défendent la liberté d’expression artistique comme un principe non négociable.
Dans un contexte de crispations politiques et de pressions répétées sur les initiatives antifascistes, le maintien d’un événement comme le Lyon Antifa Fest dépasse la seule question du concert. C’est aussi l’affirmation qu’une ville comme Lyon reste un territoire où l’on peut encore chanter, danser et débattre contre les idées d’extrême droite, dans un cadre culturel ouvert, populaire et solidaire.

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