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Le Festival Essenti'[elles] invitait Myra, La Valentina et Kïerra au Bizarre!
Depuis 2012, le festival Essenti’[elles] met en avant les droits des femmes à Vénissieux, avec des événements variés comme le concert de Myra, La Valentina et Kïerra à Bizarre! le 7 mars.
Depuis 2012, la Ville de Vénissieux organise le festival Essenti’[elles] à l’occasion du 8 mars. Cet événement met en lumière les droits des femmes, dénonce les inégalités persistantes et valorise leurs parcours et engagements. À travers projections, théâtre, concerts, expositions et rencontres, il s’adresse à tous et investit divers lieux de la ville.
Parmi ces lieux, Bizarre!, qui accueillait Myra, La Valentina et Kïerra pour un concert mêlant hip-hop, soul et salsa le 7 mars dernier.
Myra
Myra est une artiste aux multiples talents : autrice, chanteuse, actrice, compositrice et réalisatrice. Depuis 2020, elle propose une musique aux mélodies fédératrices et aux textes introspectifs, ce qui lui a valu le Prix FAIR – YouTube Music 2023. Avec sa voix grave et chaleureuse, elle s’inscrit dans la nouvelle scène française, portée par l’ambition de redonner à la chanson populaire toute sa force émotionnelle. Son EP « Après la pluie« , sorti en février, nous plonge dans un univers intimiste, fidèle à sa démarche artistique.
La Valentina
La Valentina, artiste colombienne installée à Paris, façonne une musique à l’image de son héritage latino. Entre rap français, salsa, drill et boom-bap, elle mêle français et espagnol pour créer un univers singulier. Accompagnée de son producteur et manager Tonio 8cho et du collectif 8FOR6, elle explore des sonorités hybrides où se croisent mélancolie et rap conscient. Repérée dans Nouvelle École sur Netflix et sur la scène du MaMA Festival, elle s’impose comme une artiste émergente à suivre.
Kïerra
Originaire de la Côte d’Azur et installée à Lyon depuis dix ans, Kïerra s’inspire du R&B et de la soul, avec une forte influence anglophone. Après deux projets remarqués, elle revient avec de nouvelles créations attendues dès mi-mars. Entre ballades et titres rythmés, sa musique explore des thèmes universels comme l’amour, la quête du bonheur et la liberté.
Retour en images par Gaël Bourida.
Retrouvez toute la programmation du Bizarre! en cliquant ici.
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Retour en images. Vendredi sur Mer au Sucre
La chanteuse était déjà venue au Sucre en 2019.
Le 14 novembre, Vendredi sur Mer faisait escale au Sucre pour une date lyonnaise très attendue.

L’artiste, dont le parcours fascine autant que sa musique, retrouvait une ville importante dans son histoire personnelle : Lyon, où elle a étudié l’art, développé son goût pour l’image et même composé les prémices de La femme à la peau bleue.
Sur scène, Charline Mignot s’est révélée telle qu’on la connaît à travers ses chansons : entière, sensible et généreuse. Proche de son public, elle a ponctué son concert d’anecdotes personnelles, dévoilant les inspirations, les doutes et les fragments de vie qui alimentent son univers artistique. Une présence chaleureuse, presque familière, qui a immédiatement créé une connexion avec la salle.
Musicalement, le set a été porté par des arrangements parfois proches de la house, donnant une dimension plus dansante à ses titres. Elle a interprété les morceaux de Malabar Princess, son troisième album conçu en partie comme un retour à ses Alpes natales, ainsi que ses titres emblématiques comme Les filles désir ou Écoute Chérie, toujours aussi fédérateurs.
Cette date lyonnaise s’inscrit dans une tournée mondiale ambitieuse, prévue jusqu’en 2026, confirmant l’ascension fulgurante d’une artiste qui, au départ, ne se destinait pas à la musique.
Retour en images par Isaac Nils.
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Retour en images. Iliona, future reine de la pop au Radiant-Bellevue
La chanteuse est déjà comparée à Angèle par beaucoup.
Mercredi 5 novembre 2025, Iliona faisait escale au Radiant-Bellevue pour défendre What If I Break Up With U?, son premier album sorti en mars. Sur scène, la chanteuse belge a proposé un concert à l’image de ses chansons : intime, fragile, mais d’une intensité saisissante.

Piano-voix en ouverture, Iliona a immédiatement installé cette atmosphère suspendue qui fait sa singularité. La chanteuse a offert au public lyonnais ses titres phares comme Stp, Le Lapin ou Rater une rupture pour les nuls. Une production épurée, quelques effets électroniques et une voix qui accroche chaque syllabe : la recette fonctionne.
Entre confidences murmurées et poésie du désamour, Iliona confirme sur scène ce que son album laissait présager : une écriture sensible, héritière assumée de la chanson française pour celle qui cite Françoise Hardy et France Gall comme références tout en gardant une modernité pop qui la rapproche de sa génération, à l’image d’Angèle, à qui elle est souvent déjà comparée. Le public, attentif jusqu’au dernier morceau, a offert à l’artiste une écoute rare, à la hauteur des émotions partagées.
Retour en images par Gaël Bourida.
Steve Ibrahim en première partie
En première partie, Steve Ibrahim a ouvert la soirée. Originaire de Paris, le jeune auteur-compositeur a présenté quelques titres de son répertoire naissant, dont Le bleu du ciel et La marée, ainsi que son récent morceau Le mur du salon. Entre guitare acoustique, touches R&B alternatives et poésie moderne, Steve Ibrahim a livré aux lyonnais un univers déjà bien dessiné. Une introduction idéale avant l’arrivée d’Iliona, dans la même veine intime et lumineuse. Pas de date lyonnaise en solo prévue pour celui qui fera la Boule Noire parisienne début décembre.
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Retour en images. 14 ans après, Jamiroquai était à Lyon
13000 spectateurs ont vibré au son de Jamiroquai à la LDLC Arena.
Annoncé depuis plus d’un an, le concert de Jamiroquai a fait vibrer la LDLC Arena ce 8 novembre. La soirée s’est ouverte avec un set groovy et lumineux de Cerrone, invité surprise qui a replongé le public dans ses influences disco et électro avant l’arrivée du groupe britannique.

Jay Kay et ses musiciens ont ensuite transformé l’Arena en véritable piste de danse, enchaînant leurs tubes (« Virtual Insanity », « Cosmic Girl » ou encore « Little L ») et nouveautés, comme « Disco Stays the Same » et « Shadow in the Night » qui sont déjà des futurs hits, dans une scénographie éclatante. Chapeaux iconiques, énergie intacte et communion totale avec les 13 000 spectateurs : Jamiroquai a rappelé pourquoi il reste une référence du groove moderne.
Seul bémol d’une soirée presque parfaite : les perturbations sur le réseau TCL en fin de concert, qui ont ralenti le retour d’une partie du public malgré les bus relais mis en place.
Retour en images par Loïck Andujar.
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