Le groupe emblématique Kyo fera son grand retour à Lyon le 28 février 2027, avec un concert à la LDLC Arena.

Kyo revient sur scène après avoir clôturé sa tournée anniversaire « Le Chemin 20 ans » aux Vendanges Musicales (où on était !) ; une série de concerts marquante qui a rappelé l’importance du groupe dans le paysage pop-rock français et l’attachement intact du public, même une vingtaine d’années après la sortie leur album culte.

Porté par cet engouement, Kyo ouvre un nouveau chapitre, plus ambitieux encore. Ce retour sur scène s’accompagne d’un nouvel album, “Ultraviolent”, sorti le 31 octobre. Un opus que le groupe décrit comme un miroir de notre époque : intense, rapide, parfois sombre, mais où l’amour continue d’apporter sa lumière. Aux Vendanges Musicales, le groupe nous avait notamment partagé en avant-première « K17 » et « Hors du Temps ».

Une tournée ambitieuse et un détour par Lyon

Si un show unique à Paris La Défense Arena, prévu le 13 mars 2027, avait été annoncé il y a quelques semaines, Kyo a également choisi de renouer avec le public en région. L’annonce d’un passage à la LDLC Arena s’inscrit donc dans cette nouvelle dynamique, pensée comme un voyage musical dans ce que le groupe appelle “L’Entre Monde”, leur univers artistique renouvelé.

À Lyon, les fans pourront ainsi découvrir en live les titres d’Ultraviolent, aux côtés des incontournables comme « Dernière Danse », « Le Graal » ou « Le Chemin » qui ont marqué plusieurs générations. Une date très attendue qui marquera l’un des temps forts de la tournée des zéniths annoncée pour 2027, avec plusieurs passages prévus à Lille, Bordeaux, Nantes ou encore Strasbourg.

La billetterie est déjà ouverte, avec des tarifs allant de 46 à 66 euros.

Disiz fera étape à la Halle Tony Garnier de Lyon le vendredi 4 décembre 2026 dans le cadre de sa nouvelle tournée des zéniths.

L’artiste, qui avait présenté son album on s’en rappellera pas en avant-première à Lyon il y a quelques mois, revient avec un spectacle d’une ampleur renouvelée. Sur scène, il sera accompagné d’un band de six musiciens. Portée par une direction artistique ambitieuse, cette nouvelle création mêle tension, émotion et sensibilité, tout en laissant place à des moments plus explosifs, à l’image de son dernier album sur lequel on retrouve notamment Theodora, Laurent Voulzy ou Iliona. Le concert promet de parcourir un répertoire qui traverse les époques et les influences, fidèle à la sincérité qui caractérise disiz.

Après une pré-tournée annoncée complète et trois dates programmées à L’Olympia en janvier 2026, l’artiste confirme son retour sur le devant de la scène avec une large série de concerts en France et en Belgique : Toulouse, Montpellier, Lille, Strasbourg, Bruxelles, Bordeaux… et donc Lyon début décembre.

La mise en vente des billets ouvre demain à 18 h.

Dimanche soir, le rock français a vibré à Lyon : Jean-Louis Aubert a offert près de 2h45 d’un show généreux, mêlant nouveautés, classiques solo et tubes de Téléphone.

Dès l’ouverture avec « C’est quand ça commence », l’artiste a fait la preuve de sa forme. Côté setlist, tout le monde est servi ! Jean-Louis Aubert a su jongler entre titre récents (« Saute », « Merveille ») et incontournables solos (« Juste une illusion », « Demain sera parfait ») mais aussi des grands moments Téléphone (« New-York avec toi », « La bombe humaine », « Le jour s’est levé », « Ça (c’est vraiment toi) » ou « Un autre monde »). Malgré ces nombreux classiques, un absent s’est fait ressentir : « Cendrillon » n’a pas été interprété. Pour les aficionados, c’était l’un des titres espérés.

Un concert rempli d’émotion et de proximité avec le public

Jean-Louis Aubert en a profité pour dédicacer « La bombe humaine » aux victimes des attentats du 13 novembre, avant d’enchaîner avec « Alter ego », en ayant eu une pensée pour Coluche et plein d’autres de ses camarades, entre autres.

Une partie du concert est également dédiée à Barbara. Le chanteur raconte avoir reçu un fax de cette dernière, où elle lui demandait de chanter certains de ses textes après sa mort. Chose promise, chose faite : le public lyonnais a eu le droit à « Le jour se lève encore » et « Dis, quand reviendras-tu ? ».

L’artiste a aussi quitté la scène pendant une bonne vingtaine de minutes pour s’avancer dans la foule, saluer ses fans et chanter plusieurs titres dans les gradins, créant une vraie proximité avec le public. La LDLC Arena est devenu un terrain de jeu géant pour l’ex-membre de Téléphone, qui ne cachait pas son plaisir.

Ainsi, à 70 ans, Jean-Louis Aubert démontre qu’il est toujours au sommet de son art : énergie, engagement, communion avec le public. Un concert marquant, qui s’inscrit dans la droite ligne d’une tournée déjà saluée et qu’il considère comme sa « meilleure tournée » au micro d’Émilie Mazoyer.

Et ce n’est pafini entre les lyonnais et Jean-Louis Aubert puisqu’on le retrouvera au Printemps de Pérouges le 25 juin.

Kriill en première partie

Avant l’arrivée de Jean-Louis Aubert sur scène, le public de la LDLC Arena a découvert l’univers singulier de Kriill, trio parisien de rock alternatif à la poésie cosmique et aux harmonies vocales envoûtantes. Leur présence en première partie ne doit rien au hasard : Eliott, l’un des membres, a co-produit Pafini, le dernier album de Jean-Louis Aubert. Sur certains titres, le trio a même rejoint le chanteur aux chœurs et aux claviers, scellant sur scène une complicité artistique évidente.